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Tous les conseils pour reconnaître les vampires et les solutions et astuces pour les ratatiner. Un album pour tordre le cou aux petites et grandes peurs.

La harpe enchante le hall d'hôtel dans lequel elle habite. Quand la princesse Fadièse fait son entrée, elle repère tout de suite le bel instrument. Pourvu qu'elle ne l'emmène pas près du feu, ce serait une catastrophe pour ses cordes !

Si une princesse perd un jour sa balle d'or dans un puits, soyez certain que Dimitri le gentil se précipitera à l'intérieur de son livre de contes pour lui porter secours. Mais une drôle de grenouille est déjà là... Et on dirait bien qu'elle espère un bisou de la princesse ! Il leur faudra beaucoup d'énergie à tous les deux pour qu'elle accorde enfin toute son attention à cette drôle de demande !

Depuis qu'il est petit, Ray se bat tout le temps. La cole`re le submerge. Il trouve que le monde est méchant. Est-ce parce qu'il est pauvre ? Noir ? Que son père est parti ? Au collège, ça ne s'arrange pas. Ray est sans arrêt puni. Jusqu'à l'arrivée d'un nouveau proviseur qui, au lieu de le punir, lui propose de se battre contre lui. En garde ! Puis de devenir boxeur. Une perspective s'ouvre... Mais pour commencer, RV au stade. Car Ray va devoir d'abord travailler son souffle. Allez, Ray, cours ! Le proviseur entrai^ne ainsi le garçon de fausse piste en fausse piste, le sortant de sa posture victimaire jusqu'à le réconcilier avec lui-même et lui permettre de trouver sa propre voie, en toute sérénité. Un destin qui ne sera pas celui auquel il s'attendait - et le lecteur non plus d'ailleurs, comme dans les meilleurs livres de Davide Cali ! Le retournement final serre la gorge...

Cette histoire commence par la coccinelle qui a mangé un puceron, se poursuit avec l'oiseau qui mange la coccinelle, le renard qui avale l'oiseau. Un album pour comprendre la chaîne de la vie et pour apprendre à la préserver.

Croquette, un petit lapin, apprend qu'il va bientôt œtre un grand frère. Cette nouvelle suscite en lui plein de questionnements.

Le président a reçu une crotte de pigeon sur le nez et ne veut plus de pigeons dans son pays. Des experts préconisent l'utilisation de chiens pour les chasser, mais les chiens font des crottes partout. Les mouches employées pour manger les crottes de chiens pullulent et les experts conseillent de faire venir des caméléons.

Un jour où il planait au-dessus du fleuve, Cuikomo vit un petit poisson si gai, si beau, qu'il voulut en faire son ami. Mais l'oiseau ne savait pas nager, de même que Léon le poisson ne pouvait pas voler. Alors, Cuikomo improvisa une chanson. Et devinez qui jouait les percussions ?

C'est l'histoire d'un loup rouge, chassé de son territoire, qui cherche une nouvelle meute pour l'accueillir. C'est aussi l'histoire des hommes.

Dans un conte randonnée aussi drôle que classique, la chaîne alimentaire comme vous ne l'avez jamais vue ! Tout commence avec une simple petite mouche bleue, qui croise une grenouille. La grenouille ne fait qu'une bouchée de la petite mouche, et devient... toute bleue. Dans ce conte randonnée, on découvre la chaîne alimentaire dans tout ce qu'elle a de plus rude, et de plus drôle. Tout le monde y passe : petits et gros, insectes et mammifères : chacun devient bleu et finit par se faire manger. Cet album d'apparence très classique, aux illustrations réalistes ponctuées d'un beau bleu électrique, tire tout son charme de la chute finale. Tout fait sens à la dernière page, lorsque l'humain devenu bleu dépose derrière un arbre un caca bleu, et qu'une petite mouche vient s'y poser... L'effet comique est alors garanti, et on peut recommencer l'album indéfiniment ! Mathias Friman signe un album d'une grande intelligence, qui allie avec talent rudesse de la nature, poésie de la vie, et humour scatophile ! D'une certaine manière, un livre pour parler de la mort et de sa fatalité, avec humour et légèreté. Cet album réjouira les petits lecteurs, qui auront toujours un temps d'avance sur les personnages de l'histoire, jubilant à l'idée de les voir mangés à leur tour.

Mon père conduit un de ces camions-bus qu’on appelle ici des dalla-dalla parce que, quand ils ont commencé à rouler, ça coûtait un dollar pour aller n’importe où. Je l’adore! Grand-père m’en a construit un en jouet. Les jours de repos, Papa m’emmène où je veux et nous finissons toujours par arriver sur la plage, parce que nous habitons une île. En regardant passer les bateaux et les avions, j’ai une idée: quand je serai grand, j’irai loin, à bord de mon dalla-dalla volant!